« Je veux une application mobile, c’est décidé. »
Entendu, êtes-vous conscient qu’il s’agit qu’un produit spécifique ?
L’expérience mobile, tablette et ordinateur
En effet, l’expérience sur mobile n’est pas vécue de la même manière par les utilisateurs que sur un ordinateur.
Un des exemples les plus fréquents est les applications sportives. Prenons Freeletics. Son application mobile iOS et Android vous permet de suivre votre séance de coaching sportive. Et son site internet réunit l’inscription, un site e-commerce et un blog.
L’ergonomie, la hiérarchie d’information et les fonctionnalités
iOS et Android mettent à disposition des guides afin de vous faire recommandations à suivre. Cependant, tout n’est pas forcément à prendre. Lors des tests utilisateurs vous allez très vite vous rendre compte qu’il y a des points bloquants dans votre parcours.
Une application mobile de banque particulière en retard sur ces recommandations est celle du Crédit agricole. La navigation principale est en haut de l’écran au lieu d’être en bas, par exemple. Quand nous comparons avec le site internet, il y a un décalage sur l’UI énorme.
Ne négliger pas les interfaces d’application mobile
Les tailles d’écrans sont très variés aujourd’hui. Nos interfaces mobiles étant petites, les écrans doivent éviter d’être surchargé d’information surtout s’il n’y a pas d’intérêt. Le temps de lecture pour convaincre l’utilisateur est très court donc il faut surtout être percutant pour le faire rester avec un message clair et épurer.
L’application mobile de Netflix est très bien construite. Vous avez une série ou film far du moment, ensuite les minis-teasers. Puis les séries que vous êtes en train de regarder. Ainsi vous ne perdez pas trop de temps de chercher vos séries que vous regardez et vu qu’elles sont en bas de l’écran, vous pouvez facilement passer à la visualisation de votre épisode. Parce que la densité des écrans a été bien étudier.